Julie, une fermière célibataire de 35 ans, engage Djibril, un immigré malien, pour l’aider à la ferme. En prime, elle lui demande de se faire passer pour son “fiancé” devant sa mère, Huguette, qui vient s’incruster chez elle avec l’intention de lui trouver un mari.
Malgré sa bonne volonté, Djibril est totalement dépassé par le travail agricole, et très surpris de devoir “mentir” à Huguette, ce qui irrite Julie qui n’a déjà pas un caractère facile.
Les tensions montent, éveillant l’inquiétude d’Huguette qui est persuadée que malgré leurs différences culturelles et de personnalités, Julie et Djibril sont faits l’un pour l’autre.
REVUE DE PRESSE
Le Film Français
L'AMOUR EST DANS LE PRÉ
Téléfilm écrit et mis en scène par Lorenzo Gabriele, Qui sème l’amour, dont le tournage s’est déroulé en région Rhône-Alpes, […]
Télé 7 Jours
QUI SÈME L'AMOUR...
On rit franchement de ce duo aussi improbable qu'attachant, entre un clandestin et cette jeune fermière.
TV8
JULIE DE BONA : BELLE DES CHAMPS
La pétillante Julie de Bona est l'héroïne de Qui sème l'amour..., une comédie romantique à la ferme qui ne manque pas d'humour
TV Mag
DAVID BAÏOT S'ÉCARTE DU MISTRAL
Loin du Mistral, David Baïot a décroché son premier grand rôle. Il sera ce soir dans les verts pâturages de "Qui sème l'amour...". Le Jawad de "Plus belle la vie" se transforme en sans-papiers malien bien décidé à s'en sortir.
Le Film Français
Produit par Sylvette Frydman et Jean-François Lepetit via Flach Film Production pour un budget de 2,13M d'euros, Qui sème l'amour sera diffusé le mardi 2 février 2016 sur France 3.
Jimmy Jouve
L'AMOUR EST DANS LE PRÉ
Téléfilm écrit et mis en scène par Lorenzo Gabriele, Qui sème l'amour, dont le tournage s'est déroulé en région Rhône-Alpes, raconte comment Julie De Bona alias Julie, une exploitante agricole célibataire, retrouve sa maison et sa ferme dans un état lamentable en rentrant de vacances. En effet, sa mère Huguette, campée par Evelyne Buyle, a décidé de s'installer chez elle, mais aussi de virer son ouvrier. En désespoir de cause, elle embauche le jeune Djibril, incarné par David Baiot, un immigré plein de bonne volonté mais peu au fait de la vie de la ferme. De plus, pour clouer le bec de sa mère qui ne cesse de rabâcher qu'elle doit trouver un homme, Julie déclare que Djibril, rebaptisé Jean-Marc pour l'occasion, et elle sont en couple. Elle commence alors à former Djibril à son nouveau métier, mais il ne montre pas d'aptitudes particulièrement encourageantes, du moins dans les premiers temps. De plus, sa présence à la ferme commence à faire jaser au village. De confrontations en discussions, Julie et Djibril vont progressivement se découvrir et s'apprivoiser...Produit par Sylvette Frydman et Jean-François Lepetit via Flach Film Production pour un budget de 2,13M d'euros, Qui sème l'amour sera diffusé le mardi 2 février 2016 sur France 3.
Jimmy Jouve
Télé 7 Jours
Frédéric Lohézic
QUI SÈME L'AMOUR...
On rit franchement de ce duo aussi improbable qu'attachant, entre un clandestin et cette jeune fermière. On peut même parler d'un savoureux trio complété par Evelyne Buyle, qui met son grain de sel pour notre plus grand bonheur.Frédéric Lohézic
TV8
"Cinq ans que je n'étais pas revenue au théâtre! J'ai enchaîné beaucoup de films et téléfilms, cela me manquait. Je trouve que jouer sur scène et devant une caméra, c'est deux mondes différends mais qui se nourrissent l'un de l'autre; je ne pourrais pas me passer de l'un des deux. D'ailleurs, nous reprendrons la pièce en tournée la saison prochaine, je suis ravie. J'espère bien que nous jouerons en Suisse, car c'est lors de ma première tournée avec Gérard Jugnot en 2003 pour Etat critique que j'ai connu ce pays. Je n'avais jamais eu l'occasion d'y aller. Nous avons joué à Genève et Vevey, des villes magnifiques, des gens respectueux. Le public était génial, généreux. J'ai découvert le lac Léman, j'ai fait de superbes balades, je n'avais jamais ressenti un tel calme. J'en garde un très beau et bon souvenir! Et savez-vous que Lorenzo Gabriele, le réalisateur de Qui sème l'amour... est Suisse ?"
Comédienne, une évidence
Dans la vie, Julie de Bona est aussi enjouée, déterminée et drôle qu'à l'écran. A Paris, elle se déplace toujours à vélo et donne ses rendez-vous dans un joli bar du XVIIIe arrondissement, quartier qu'elle habite. Le métier de comédienne lui est apparu comme une évidence dès l'âge de 13 ans.
"J'étais du genre timide, un peu mal dans ma peau, je me sentais mieux sur scène que dans la vie. Pour moi le jeu est devenu un mode d'expression."
Pourtant, elle avoue avoir énormément le trac, alors, pour le conjurer, elle travaille! "Je prépare très intensément. Dans Le secret d'Élise (ndlr: minisérie diffusée en septembre sur la RTS et prochainement sur TF1), mon personnage était enceinte de sept mois; comme je n'ai jamais eu de bébé, je ne suis pas allée jusqu'à tomber enceinte mais j'ai suivi des cours d'accouchement, j'ai travaillé avec un médecin qui fait de l'haptonomie et j'ai appris à marcher avec un gros ventre. Et comme elle devait faire des travaux pour une maison d'hôtes, je suis allée poncer les volets de ma maison de campagne..."
La traite des vaches
Dans Qui sème l'amour..., elle campe une exploitante agricole, ce qui ne s'improvise pas. "Je suis partie faire un stage dans une ferme. J'ai trait une cinquantaine de vaches, conduit le tracteur, ramassé les foins, je me suis initiée aux travaux du potager. En fait, me mettre en condition est une manière d'éprouver le quotidien du personnage, cela m'apaise. J'ai enfilé le "costume" du personnage, donc après il ne me reste plus qu'à jouer les émotions."
Julie de Bona n'a pas hésité un instant à accepter la proposition de Lorenzo Gabriele. "J'avais vu Des roses en hiver, superbe téléfilm dont le sujet est traité de manière subtile, avec Jean-Pierre Marielle et Mylène Demongeot, et j'avais noté le nom de son réalisateur. Lorsque j'ai reçu le scénario de Qui sème l'amour..., que j'ai su que c'était lui qui le réalisait, j'ai tout de suite dit oui. D'autant que c'est ma première comédie romantique! L'histoire m'a beaucoup touchée et mon personnage offre pas mal de facettes à jouer. Et puis nous nous sommes très bien entendus sur le plateau, notamment avec Evelyne Buyle qui joue ma mère venant s'incruster chez moi avec l'intention de me trouver un mari. Et la rencontre avec David Baïot a été un vrai coup de foudre artistique et amical, ce qui a permis de donner corps à l'histoire d'amour."
Propos recueillis par Chloé Sullivan
JULIE DE BONA : BELLE DES CHAMPS
Entre cinéma, théâtre et télévision, elle n'arrête plus. A peine sortie de scène - elle vient de jouer au Théâtre de Paris dans Énorme!, la pièce de Neil LaBute - Julie de Bona est de retour sur le petit écran dans le téléfilm Qui sème l'amour..., diffusé sur la RTS puis France 3."Cinq ans que je n'étais pas revenue au théâtre! J'ai enchaîné beaucoup de films et téléfilms, cela me manquait. Je trouve que jouer sur scène et devant une caméra, c'est deux mondes différends mais qui se nourrissent l'un de l'autre; je ne pourrais pas me passer de l'un des deux. D'ailleurs, nous reprendrons la pièce en tournée la saison prochaine, je suis ravie. J'espère bien que nous jouerons en Suisse, car c'est lors de ma première tournée avec Gérard Jugnot en 2003 pour Etat critique que j'ai connu ce pays. Je n'avais jamais eu l'occasion d'y aller. Nous avons joué à Genève et Vevey, des villes magnifiques, des gens respectueux. Le public était génial, généreux. J'ai découvert le lac Léman, j'ai fait de superbes balades, je n'avais jamais ressenti un tel calme. J'en garde un très beau et bon souvenir! Et savez-vous que Lorenzo Gabriele, le réalisateur de Qui sème l'amour... est Suisse ?"
Comédienne, une évidence
Dans la vie, Julie de Bona est aussi enjouée, déterminée et drôle qu'à l'écran. A Paris, elle se déplace toujours à vélo et donne ses rendez-vous dans un joli bar du XVIIIe arrondissement, quartier qu'elle habite. Le métier de comédienne lui est apparu comme une évidence dès l'âge de 13 ans.
"J'étais du genre timide, un peu mal dans ma peau, je me sentais mieux sur scène que dans la vie. Pour moi le jeu est devenu un mode d'expression."
Pourtant, elle avoue avoir énormément le trac, alors, pour le conjurer, elle travaille! "Je prépare très intensément. Dans Le secret d'Élise (ndlr: minisérie diffusée en septembre sur la RTS et prochainement sur TF1), mon personnage était enceinte de sept mois; comme je n'ai jamais eu de bébé, je ne suis pas allée jusqu'à tomber enceinte mais j'ai suivi des cours d'accouchement, j'ai travaillé avec un médecin qui fait de l'haptonomie et j'ai appris à marcher avec un gros ventre. Et comme elle devait faire des travaux pour une maison d'hôtes, je suis allée poncer les volets de ma maison de campagne..."
La traite des vaches
Dans Qui sème l'amour..., elle campe une exploitante agricole, ce qui ne s'improvise pas. "Je suis partie faire un stage dans une ferme. J'ai trait une cinquantaine de vaches, conduit le tracteur, ramassé les foins, je me suis initiée aux travaux du potager. En fait, me mettre en condition est une manière d'éprouver le quotidien du personnage, cela m'apaise. J'ai enfilé le "costume" du personnage, donc après il ne me reste plus qu'à jouer les émotions."
Julie de Bona n'a pas hésité un instant à accepter la proposition de Lorenzo Gabriele. "J'avais vu Des roses en hiver, superbe téléfilm dont le sujet est traité de manière subtile, avec Jean-Pierre Marielle et Mylène Demongeot, et j'avais noté le nom de son réalisateur. Lorsque j'ai reçu le scénario de Qui sème l'amour..., que j'ai su que c'était lui qui le réalisait, j'ai tout de suite dit oui. D'autant que c'est ma première comédie romantique! L'histoire m'a beaucoup touchée et mon personnage offre pas mal de facettes à jouer. Et puis nous nous sommes très bien entendus sur le plateau, notamment avec Evelyne Buyle qui joue ma mère venant s'incruster chez moi avec l'intention de me trouver un mari. Et la rencontre avec David Baïot a été un vrai coup de foudre artistique et amical, ce qui a permis de donner corps à l'histoire d'amour."
Propos recueillis par Chloé Sullivan
TV Mag
Loin du Mistral, David Baïot a décroché son premier grand rôle. Il sera ce soir dans les verts pâturages de "Qui sème l'amour...". Le Jawad de "Plus belle la vie" se transforme en sans-papiers malien bien décidé à s'en sortir.
Votre premier grand rôle vous offre un héros très positif...
C'est une belle histoire, une thème très actuel, même si c'est un sujet qui a toujours existé. Djibril est un jeune sans-papiers qui se débrouille en prenant tous les petits boulots qui passent avec beaucoup de bonne volonté. Il a été obligé de venir en France par amour et pour pouvoir s'occuper de sa fille. Il est déterminé à subvenir aux besoins de son enfant et, malgré tout, à rester digne.
Votre personnage découvre la campagne, et vous ?
Je suis un vrai citadin, je vis à Paris depuis mes 6 ans. Je ne connaissais pas du tout le travail dans les champs, c'était une bonne surprise, aussi bien pour moi que pour mon personnage, qui est engagé comme homme à tout faire chez une agricultrice jouée par Julie de Bona, que pour moi. J'ai adoré.
Quel est le message de ce téléfilm ?
Le message, c'est qu'on peut avoir des difficultés, mais qu'avec de la volonté on peut s'en sortir. Djibril n'arrive pas à avoir de papiers, mais il continue à espérer et à travailler en allant dans le bon sens.
Aborder des sujets de société vous tient-il à coeur ?
C'est bien de ne pas toujours parler de trucs plus ou moins futiles, mais aussi de sujets qui concernent la société. "PBLV" est intéressante pour ça, parce que l'on aborde souvent des sujets de société, on parle de racisme, de mariage entre personnes de différentes origines, d'homosexualité... En ce moment, au théâtre, je joue une pièce qui s'appelle "La Fuite", la guerre civile au Congo racontée par un enfant de 10 ans qui a dû fuir avec ses parents. Je joue cet enfant devenu adulte.
"Plus belle la vie", c'est fini pour vous ?
Non, mon retour est prévu pour juin. Ne vous inquiétez pas, je reviens en force (rire).
Un commentaire sur la polémique qui entoure les Oscars ?
Je trouve normal qu'il y ait un boycott de la cérémonie parce que j'ai vu des films importants en 2015 avec des acteurs de couleur. Je pense à Idriss Elba ou Michael B. Jordan. Ils auraient dû avoir au moins une nomination. On fait tous les même métier. Il faut qu'on soit tous à égalité !
Propos recueillis par Jean-Marc Barenghi
DAVID BAÏOT S'ÉCARTE DU MISTRAL
Les fans de Jawad dans "Plus belle la vie" le découvrent ce soir en sans-papiers maliens sur France 3Loin du Mistral, David Baïot a décroché son premier grand rôle. Il sera ce soir dans les verts pâturages de "Qui sème l'amour...". Le Jawad de "Plus belle la vie" se transforme en sans-papiers malien bien décidé à s'en sortir.
Votre premier grand rôle vous offre un héros très positif...
C'est une belle histoire, une thème très actuel, même si c'est un sujet qui a toujours existé. Djibril est un jeune sans-papiers qui se débrouille en prenant tous les petits boulots qui passent avec beaucoup de bonne volonté. Il a été obligé de venir en France par amour et pour pouvoir s'occuper de sa fille. Il est déterminé à subvenir aux besoins de son enfant et, malgré tout, à rester digne.
Votre personnage découvre la campagne, et vous ?
Je suis un vrai citadin, je vis à Paris depuis mes 6 ans. Je ne connaissais pas du tout le travail dans les champs, c'était une bonne surprise, aussi bien pour moi que pour mon personnage, qui est engagé comme homme à tout faire chez une agricultrice jouée par Julie de Bona, que pour moi. J'ai adoré.
Quel est le message de ce téléfilm ?
Le message, c'est qu'on peut avoir des difficultés, mais qu'avec de la volonté on peut s'en sortir. Djibril n'arrive pas à avoir de papiers, mais il continue à espérer et à travailler en allant dans le bon sens.
Aborder des sujets de société vous tient-il à coeur ?
C'est bien de ne pas toujours parler de trucs plus ou moins futiles, mais aussi de sujets qui concernent la société. "PBLV" est intéressante pour ça, parce que l'on aborde souvent des sujets de société, on parle de racisme, de mariage entre personnes de différentes origines, d'homosexualité... En ce moment, au théâtre, je joue une pièce qui s'appelle "La Fuite", la guerre civile au Congo racontée par un enfant de 10 ans qui a dû fuir avec ses parents. Je joue cet enfant devenu adulte.
"Plus belle la vie", c'est fini pour vous ?
Non, mon retour est prévu pour juin. Ne vous inquiétez pas, je reviens en force (rire).
Un commentaire sur la polémique qui entoure les Oscars ?
Je trouve normal qu'il y ait un boycott de la cérémonie parce que j'ai vu des films importants en 2015 avec des acteurs de couleur. Je pense à Idriss Elba ou Michael B. Jordan. Ils auraient dû avoir au moins une nomination. On fait tous les même métier. Il faut qu'on soit tous à égalité !
Propos recueillis par Jean-Marc Barenghi