Des bancs de poisson... et les grésillements d'une liaison radio. Un point lumineux, aveuglant, grossit lentement. Antoine Béraud, la trentaine, torse nu, pilote un sous-marin expérimental. Il passe dans un caisson de décompression, reclus, immobile, hors de portée. Aventurier moderne, conquérant, plein de certitudes. Un homme vient plaquer un télex sur le hublot de son caisson. Hélène, sa femme depuis six ans, a eu un accident, chez eux, à Paris. Un flic, plein de tact, venu prendre le rapport d'autopsie, conclut au suicide. Elle s'est jetée dans la Seine, le corps rempli de barbituriques. Affaire classée.
Réalisateur
REVUE DE PRESSE
Note D'intention de Sébastien GRALL concernant La femme secrète
Hélène... on ne la voit pas... on ne la verra jamais. Et pourtant se dessine devant nous un personnage imaginaire résultant d'une accumulation de rapports, de souvenirs, de mémoire partagée. L'enjeu du film c'est cette ligne ténue où la découverte d'une vie de femme crée le désir pour cette femme.
Note D'intention de Sébastien GRALL concernant La femme secrète
Déclaration d'intention du réalisateur :
Qui est Hélène, pour qui ?
"La vérité ?... quelle affaire !... Hélène... ici, ailleurs... j'aimais la peindre... et puis elle donnait un sens à la mort, vous saisissez, Béraud !". C'est Franchin (Philippe Noiret) qui parle. Il cherche, désespéré, à s'expliquer le geste fatal de son modèle. Lui comme Marie, Camille, Marc, Pasdeloup et Antoine ont leur place, tous sont l'objet d'enjeux, tous peuvent parler d'elle à leur manière.
Hélène... on ne la voit pas... on ne la verra jamais. Et pourtant se dessine devant nous un personnage imaginaire résultant d'une accumulation de rapports, de souvenirs, de mémoire partagée. L'enjeu du film c'est cette ligne ténue où la découverte d'une vie de femme crée le désir pour cette femme.
Qui est Hélène, pour qui ?
"La vérité ?... quelle affaire !... Hélène... ici, ailleurs... j'aimais la peindre... et puis elle donnait un sens à la mort, vous saisissez, Béraud !". C'est Franchin (Philippe Noiret) qui parle. Il cherche, désespéré, à s'expliquer le geste fatal de son modèle. Lui comme Marie, Camille, Marc, Pasdeloup et Antoine ont leur place, tous sont l'objet d'enjeux, tous peuvent parler d'elle à leur manière.
Hélène... on ne la voit pas... on ne la verra jamais. Et pourtant se dessine devant nous un personnage imaginaire résultant d'une accumulation de rapports, de souvenirs, de mémoire partagée. L'enjeu du film c'est cette ligne ténue où la découverte d'une vie de femme crée le désir pour cette femme.