Réalisateur
Acteurs
A FLACH FILM PRODUCTION
Karima SI AHMED and Jean-François LEPETIT
With FRANCE TÉLÉVISION
A film by Jérôme SESQUIN
Photography
Christophe MAIZOU
Sound
Pascal MARZOLF
Éric FERROUD-PLATET
Sylvain DECOSSE
Cyril DE CANSON
Editing
Anne-Julie TOULLEC
Mixing
Amélie CANINI
Key light
Yann GADAUD
Makeup artist
Francine THEKAL
Documentalist
Anne GAUSSENS
Production manager
Claire DAVANTURE
Production administrator
Jean-Pierre BILLARD
Production assistant
Héléna MENDES
Production apprentice
Marc PONDRUEL
Editing assistant
Cyrielle THELOT
Rating
Éric SALLERON
Technical equipment
TIGRE Productions
TELLINE Video Broadcast - Video Plus - DC Audiovisuel
Cameroun logistics
Bassek BA KOBHIO, Terre Africaine
Algéria logistics
Boualem ZIANI, Libre Image
Yazid ARAB
Post-production
AVIDIA
ARCHIVES
INA actualités
ENTV
Atelier des Archives
INA Production
Résultats élection présidentielle 2ème tour 10 mai 1981
Questions à domicile Pierre Mauroy réalisateur Alexandre Tarta
Générique début "Le cercle de minuit" réalisateur Gilles Daude
Le Cercle de Minuit - Enfance réalisateur Pierre Desfons
Info mag À quoi CSA sert ? journaliste Pierre Lacombe
INA Variétés
Cocoricocoboy France Gall réalisateur Gilles Amado
Cocoricocoboy Playmate réalisateur Gérard Espinasse
CANAL+
Les Guignols de l'Info du 13/12/1996 - Sketch "Cyberbourges"
Réalisateur Vincent Monnet
Auteurs Yann Longuet, Frank Magnier
Marionnettes Alain Duverne
FLACH FILM
Extraits "Un Parcours Algérien"
un film de Hervé BOURGES et Alain FERRARI - 2003
Droits réservés
PHOTOGRAPHIES
Collection privée Hervé BOURGES - ESJ Lille - Yvon Beaugier
UNESCO - GAMMA RAPHO - SIPA Presse - Rue des Archives Louis Monier
AJD - Bel Espoir - Éditions Belfond
Droits réservés
AKNOWLEDGEMENTS
Marie BOURGES
Président Ahmed BEN BELLA's famlily
Amadou MAHTAR M'BOW
Frédéric MITTERRAND, Minister of Culture and Communication
Pascal JOSEPHE
Charles CARA
Marc CAPELLE - Patricia DORMAL and students from ESJ de Lille
Laurence LERICHE
Olivier ZEGNA-RATA
Issa Tchiroma BAKARY, Ministre de la Communication du Cameroun
Amadou VAMOULKÉ, CRTV director
Bruno GAIN, France Ambassador in Cameroun
Xavier DRIENCOURT, France Ambassador in Algéria
Minstry of Culture Algérian Republic
Laurent Charles BOYOMO ASSALA, École supérieure des sciences et techniques de l'information et de la communication
Carole DARMOUNI, UNESCO
Jean BOUQUIN, Théâtre Dejazet
Hôtel Albert 1er d'Alger
André ROBERT, Restaurant La Cagouille
A production
FLACH FILM PRODUCTION
With participation of Centre national du cinéma et de l'image animée
With support from Acsé - Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances - Fonds Images de la Diversité
And participation of
FRANCE TÉLÉVISION
Press agent
Sylvie SYREN
Production
Valérie VERDIER-FERRE
Zeina ACHEROUFKEBIR
Unité documentaires
Caroline BEHAR
Carole WHEATCROFT
Sophie POIRIER LOUBERT
© FLACH FILM PRODUCTION
Dépôt légal 2012
Images du film
REVUE DE PRESSE
PODCAST : Hervé Bourges, ancien directeur général de RFI, évoque la mort de Ben Bella
La mort d’un géant... Ahmed Ben Bella s’est éteint, hier à Alger. Hervé Bourges, l’ancien directeur général de RFI, l’a bien connu.
PORTRAIT D'HERVÉ BOURGES SUR FRANCE 5 : "EMPREINTES" LE 4 MAI
Hervé Bourges est le seul Président de chaînes de télévision que les Français reconnaissaient dans la rue...
DOSSIER DE PRESSE : HERVÉ BOURGES, LES BRAISES ET LA LUMIÈRE
Président du Comité permanent de la diversité de France Télévisions depuis 2009, Hervé Bourges, 79 ans, a imprimé sa marque pendant plus de deux décennies sur l'audiovisuel, public et privé.
EMPREINTES : HERVÉ BOURGES, LES BRAISES ET LA LUMIÈRE
Portrait d'Hervé Bourges en vieil éléphant sagace et doué, assez peu disposé à regarder en arrière, puisque "ce qui l'intéresse, c'est demain". C'est donc au réalisateur Jérôme Sesquin de dresser l'inventaire de ses multiples vies, en promenant son sujet entre la France, le Cameroun et l'Algérie...
LE MAZARIN DES ONDES
Hervé Bourges a régné pendant trois décennies à la tête des plus grands médias du pays alors que ses engagements politiques l'avaient rendu indésirable en France
HERVÉ BOURGES, LES BRAISES ET LA LUMIÈRE
Portrait des "mille et une vies" de cet homme de médias et de combats.
PODCAST : Hervé Bourges, ancien directeur général de RFI, évoque la mort de Ben Bella
« Je l’ai rencontré, il était avec Khider, Aït Ahmed, Boudiaf et Bitat, C’était les cinq chefs de la révolution algérienne, dont l’avion avait été détourné le 20 octobre 1956. Je les voyais à la demande d’Edmond Michelet, le ministre de la Justice du général de Gaulle qui me demandait d’entretenir des relations avec eux. Ce que j’ai fait… »
La mort d’un géant... Ahmed Ben Bella s’est éteint, hier à Alger. Hervé Bourges, l’ancien directeur général de RFI, l’a bien connu. Entre 1962 et 1965, il a été son conseiller technique à la présidence algérienne. Hervé Bourges témoigne au micro de Christophe Boisbouvier.
Écouter : http://www.rfi.fr/emission/20120412-herve-bourges-ancien-directeur-general-rfi
Jeudi 12 avril 2012
PORTRAIT D'HERVÉ BOURGES SUR FRANCE 5 : "EMPREINTES" LE 4 MAI
Hervé Bourges est le seul Président de chaînes de télévision que les Français reconnaissaient dans la rue. On se souvient surtout de ses trois décennies à la tête des plus grands médias du pays ; RFI, TF1 (jusqu'à la privatisation), Antenne 2 et FR3, RMC ou le CSA...En repartant sur les traces de son passé, à la rencontre de celles et ceux qui ont marqué son parcours, en France, en Algérie, au Cameroun, Hervé Bourges dévoile dans un numéro du magazine "Empreintes", sur France 5, son début de carrière, son travail de journaliste, ses "mille" vies qui n'en font qu'une.
Un film de Jérôme Sesquin proposé vendredi 4 mai 2012 à 21h30 et dimanche 6 mai à 7h50.
http://www.leblogtvnews.com/article-portrait-d-herve-bourges-sur-france-5-empreintes-le-4-mai-103142702.html
DOSSIER DE PRESSE : HERVÉ BOURGES, LES BRAISES ET LA LUMIÈRE
De Lille à Alger, de Yaoundé à Paris, le journaliste se penche sur ce qu'a été son parcours et sur les envies et les choix qui l'ont guidé. Rencontre avec un homme de conviction, épris avant tout de justice.EMPREINTES : HERVÉ BOURGES, LES BRAISES ET LA LUMIÈRE
Né à Rennes en 1933, Hervé Bourges voulait faire du théâtre ; l'opposition familiale le réoriente sur le journalisme, pratiqué sur le mode engagé dans les pages de Témoignage chrétien. Il effectue son service militaire en Algérie, se lie avec les futurs leaders indépendantistes, devient en 1962 le conseiller de Ben Bella. Rentré "tricard" dans la France de 1966, il repart en Afrique, fonde une école internationale de journalisme à Yaoundé, se prend de passion pour ce continent où, dit-il, il a "appris la patience".Il ne revient vraiment en France qu'en 1981, apprend la radio et la télévision sur le tas, en prenant la présidence de RFI, puis de TF1 (avant la privatisation), puis d'Antenne 2 et de FR3 (dont il fera France Télévisions), puis du CSA... Parce que c'est celle que l'on (re)connaît le mieux, cette partie de la biographie, sans être complaisante, manque un peu d'aspérités, de controverses, de critiques - et, du coup des réponses qu'y aurait pu apporter l'intéressé.
Vendredi 4 mai à 21h30 sur France 5
LE MAZARIN DES ONDES
Il voulait devenir comédien, son père lui suggéra le métier moins précaire de journaliste. C'est ainsi qu'Hervé Bourges, Breton de Rennes, élevé dans une famille traditionnelle et catholique, sortit premier de l'École supérieure de journalisme de Lille, entra à "Témoignage chrétien" et devint militant anticolonialiste. Le parcours de cet "aventurier au sens noble du terme" (c'est ainsi qu'il se dépeint) commence en 1960, après un service militaire en Algérie où l'usage de la torture l'a profondément bouleversé, lorsqu'il entre comme chargé de mission au cabinet d'Edmond Michelet, ministre de la Justice du générale De Gaulle, avec pour mission de nouer des contacts avec les leaders du FLN détenus en France. Ben Bella l'apprécie tant qu'après l'indépendance il l'appelle à ses côtés jusqu'à sa destitution par Boumediene. arrêté, interrogé, puis relâché à la suite d'interventions, dont celle de Jacques Chirac, c'est un "tricard" (considéré comme un traître par beaucoup) qui regagne Paris, avant de s'envoler pour le Cameroun, où il crée une école de journalisme à Yaoundé.L'Afrique lui apprend la patience. Récompensée en 1981, lorsque l'union de la gauche cherche un nouveau directeur pour RFI dont il fera, en dix ans, une grande radio internationale. En 1983, François Mitterrand, l'installe comme président de la Une. Bourges fait plus qu'honorer son contrat. Après la privatisation de TF1, les fauteuils se succèdent - France Télévisions, RMC, présidence du CSA - où l'ancien élève des pères jésuite devenu burgrave de l'audiovisuel imprimera sa marque. Celle d'un esprit largement ouvert, au-dessus des sectarismes et des modes, d'un Mazarin à l'humour caustique et au masque imperturbable, alternant avec souplesse autorité jupitérienne et écoute patiente.
À 79 ans, Hervé Bourges a déjà vécu plusieurs vies. Les unes en France, les autres sur le continent africain où il séjourne souvent. Au cours de ce tournage, il rend visite à Ben Bella, décédé le 12 avril 2012. Le premier président de l'Algérie lui accorda sa dernière interview.
Vendredi 4 mai - 21h30 - France 5 Collection. "Empreintes" : "Hervé Bourges, les braises et la lumière".
HERVÉ BOURGES, LES BRAISES ET LA LUMIÈRE
De lui, on connaît surtout l'homme des médias, l'infatigable dirigeant de RFI, de TF1 (jusqu'à la privatisation en 1987), puis de France 2 et de France 3 qu'il transforme en France Télévisions, ou encore du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) qu'il présida de 1995 à 2001. Une carrière cathodique aux multiples rebondissements, à l'image du journaliste dont la vie ne fut qu'une succession d'expériences marquées du sceau d'"engagements sociaux avant d'être des engagements politiques".Elevé dans une famille de notables bretons, aîné d'une fratrie de sept enfants, Hervé Bourges préfère découvrir la vie du côté des rotatives et des gros titres de presse plutôt qu'en devenant "notaire, avoué ou officier". Pour lui donc, à défaut d'être acteur, l'une de ses nombreuses passions, ce sera le journalisme. Il débute à Témoignage chrétien, journal engagé dans la lutte anticoloniale, avant de partir pour l'Algérie en 1958.
Alger et Yaoundé
C'est à Alger, là ou il occupa un poste au cabinet d'Ahmed Ben Bella en 1962, juste après l'indépendance, que se déroule une partie de ce beau portrait diffusé dans la collection "Empreintes". De ses "années de braises", il explique : " Je passais pour un traître du côté français et pour une barbouze côté algérien. Mais tout était à faire, à construire en Algérie". Après le coup d'Etat de 1965, Bourges rentre en France, "tricard", selon sa propre expression.
Il ne le restera pas longtemps. Après avoir formé des journalistes africains dans une école à Yaoundé (Cameroun), il entame, dans le sillage de la victoire de la gauche en 1981, son ascension à la tête de l'audiovisuel français. Un feuilleton nourri ici de multiples témoignages et d'anecdotes savoureuses.
G.F.
Un documentaire de Jérôme Sesquin (France, 2012, 52 minutes) sur FRANCE 5 vendredi 4 mai à 21h30
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