Entretien avec Eric Cantona
Je n’ai eu aucun mal à accepter ce rôle : un beau personnage, dans une belle histoire, un peu surréaliste. Le chauffeur routier est un aventurier solitaire.
Il est capable de rester quarante-huit heures dans sa cabine, seul, sans parler… Ça me va bien ! La vie de ces gens-là me fait rêver. Il vit la rencontre comme si l’amour ne pouvait durer. Et quelque chose se passe, avec Louise, avec le village…
En voyant le film, maintenant, je trouve cette histoire incroyablement juste. Je vais dans de petits villages où l’on retrouve la rivalité entre deux bistrots, ou encore ce lien incroyable qu’est le cimetière.
Entre les vivants et les morts et, entre les vivants. Je retrouve ce que je vis, un échantillon d’humanité concentré sur la place d’un village. Avec une dimension surréaliste, mais dans la vie, il y aussi une part de surréalisme.
Il est capable de rester quarante-huit heures dans sa cabine, seul, sans parler… Ça me va bien ! La vie de ces gens-là me fait rêver. Il vit la rencontre comme si l’amour ne pouvait durer. Et quelque chose se passe, avec Louise, avec le village…
En voyant le film, maintenant, je trouve cette histoire incroyablement juste. Je vais dans de petits villages où l’on retrouve la rivalité entre deux bistrots, ou encore ce lien incroyable qu’est le cimetière.
Entre les vivants et les morts et, entre les vivants. Je retrouve ce que je vis, un échantillon d’humanité concentré sur la place d’un village. Avec une dimension surréaliste, mais dans la vie, il y aussi une part de surréalisme.