Romance, une “œuvre au blanc” où Marie s’engage et se livre éperdument corps et âme dans la quête sensuelle et mystique d’un amour physique et romantique. Un film radical, ample, glacé et brûlant qui confirme que Catherine Breillat est une grande cinéaste.
Revue de presse
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19 juin 2015
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19 juin 2015
L’enfer, c’est vivre dans un monde où l’on veut vous bander les yeux pour étouffer votre conscience. Ce film est contre les fondamentalismes, contre les intégrismes. Il travaille sur le déni.
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19 juin 2015
La vénalité masculine est rarement montrée au cinéma, ou de façon édulcorée. Je voulais avant tout installer une dramaturgie dans le rapport Orient-Occident, en évitant le côté économique et politique, pour rechercher davantage les incidences psychologiques, culturelles, les effets de civilisation.
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“Il y a une question à laquelle on aimerait n’avoir jamais à répondre : pourquoi ce film ?”
Tôt ou tard cependant – et cela semble vraiment inévitable – le moment vient, et alors on s’échine à trouver une réponse. -
19 juin 2015
Du cinéma peint sur pellicule au premier long métrage d’Alain Soral, en passant par la pub à gros budget aux côtés de Michel Gondry, le parcours de Jean-Louis Bompoint est des plus surprenant.
Confession d’un chef opérateur atypique. -
19 juin 2015
J’ai toujours apprécié l’univers de Catherine Breillat. Son discours trouve un véritable écho en moi. Elle fait preuve d’une sorte de poésie mythique et mystique qui me touche. Lorsqu’elle m’a donné à lire ce scénario, une phrase m’a particulièrement marquée, mon personnage dit : « Je veux être regardée par là où je ne suis pas regardable ». Ces quelques mots ont suffit à déclencher mon imagination.
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Dien Bien Phu est une défaite. La plus grande défaite militaire française outre-mer depuis Montcalm devant Québec en 1759. Je n’ai aucun goût pour les défaites. Je connais trop le cortège de honte, d’humiliation, d’amertume, de désespoir, de lâche soulagement aussi, qui les escorte. Cela n’était pas mon propos en faisant ce film, croyez-moi. Non, Dien Bien Phu, c’est autre chose.
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La Révolution Culturelle, dans sa dimension tragi-comique, sans jugement, avec seulement une immense compassion pour les personnages que j’ai créés.
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Raconté sur le ton de l’ironie perverse par un apprenti dragueur repenti, “Confession d’un dragueur” met en scène, à travers la drague et les femmes, la collision de deux mondes…
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19 juin 2015
Pour moi, ce film était un défi d’acteur et d’homme. Le scénario était complexe, les textes élaborés au point que je ne pensais pas être capable de les dire – le français n’est pas ma langue maternelle. Mais Catherine m’a fait confiance et cela m’a motivé. Jouer m’a toujours intéressé, même dans des productions X.
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