On vit une fin de siècle angoissante. Des millions de gens ne travaillent plus, et parce qu’ils n’ont plus d’identité sociale, perdent le goût de vivre. Tonka s’adresse aux gens sur la base d’une histoire d’amour originale, drôle et émouvante, délibérément tournée vers la lumière. C’est un film que j’ai voulu profond et plein d’espoir.
flachfilm
Entries By flachfilm
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19 juin 2015
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Roman heureux, “Jane Eyre” eut un très grand succès dès sa première parution. Pourtant, le récit montre, à première vue, les éléments typiques du romantisme de l’époque et n’est pas exempt de stéréotypes littéraires. Mais il y avait un élément tout à fait nouveau qui rend encore aujourd’hui le roman très “différent” : le caractère de son héroïne, Jane Eyre.
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19 juin 2015
Sylvain Madigan par Claude Chabrol La dérisoire question : film d’auteur ou pas, cesse de se poser dès qu’un auteur de film apparaît. C’est le cas de Sylvain Madigan et de Sale Destin. Quel spectateur irait s’interroger sur l’identité du responsable en recevant sur la rétine cet univers implacable et dérisoire, ces personnages abominables […]
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Hélène… on ne la voit pas… on ne la verra jamais. Et pourtant se dessine devant nous un personnage imaginaire résultant d’une accumulation de rapports, de souvenirs, de mémoire partagée. L’enjeu du film c’est cette ligne ténue où la découverte d’une vie de femme crée le désir pour cette femme.
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Dans ma recherche de vérité et de pureté, en écrivant le scénario, je n’ai jamais songé une seule seconde à bidonner les exploits. Et peut-être aussi par innocence ! L’idée était toujours filmer dans les conditions même de l’action. Tous les sportifs ont joué leur propre rôle.
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J’ai côtoyé dans ma vie des hommes et des femmes les plus différents les uns que les autres et dans les milieux les plus étranges, dont celui du jeu. Paul, le héros de “L’AFFAIRE” est l’amalgame de plusieurs de ces êtres que j’ai rencontrés.
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19 juin 2015
Filmer une femme névrosée, malade, ne m’intéressait pas à priori. Je me suis décidée à cause du regard et de l’écriture de Coetzee, sa manière de voir Magda. On est dans le poisseux, le pervers, le douloureux. C’est la sensation que m’a laissée la lecture de son livre et l’atmosphère que j’ai voulu rendre.
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Au départ de cette “Vie de Famille”, il y avait l’envie de montrer un père qui aurait été insuffisant, un peu absent, et qui se dirait qu’il est peut-être encore temps pour lui de faire quelque chose pour ne pas tout perdre de sa fille. Un père qui pourrait y croire un peu, pour qui ce serait depuis longtemps un rêve important : “Un jour je partirai avec ma fille…”
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19 juin 2015
Je voulais faire du cinéma avant de faire du reportage. Certains passent par la pub, l’écriture ou l’assistanat, moi je suis passé par le journalisme. J’ai commencé par faire des films de reportage sur la réalité et je m’en suis nourri pour le jour où je déciderais de passer à la fiction.
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Je préfère ne pas me prononcer sur la nature profonde de l’homme. Chacun de nous est-il susceptible de virer dans certaines conditions ? Ce serait trop effrayant, je n’arrive pas à l’imaginer, et pour ce qui me concerne, je me vois mal devenir un bourreau. Je pense plutôt que le bien et le mal coexistent en chaque homme à des degrés divers, mais que le bien finit par triompher. Sinon, nous ne serions pas là.
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