In “Bluebeard,” a sly rethink of the freakily morbid fairy tale, the filmmaker Catherine Breillat makes the case that once-upon-a-time stories never end. Divided into two parallel narratives — one focuses on Bluebeard and his dangerously curious wife, while the other involves two little girls in the modern era revisiting the tale — the movie is at once direct, complex and peculiar.
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30 mars 2010
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30 mars 2010
“When I was growing up in the 1950s, it was a fairy tale that was specifically aimed at little girls,” said the French director Catherine Breillat, 61, whose film adaptation of the tale opened in New York on Friday. “I found it very strange that in the end it’s about teaching little girls to love a man who will kill them. Because that is the story that it tells.”
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sychologically rich, unobtrusively minimalist, at once admirably straightforward and slyly comic, Catherine Breillat’s Bluebeard is a lucid retelling and simultaneous explanation of Charles Perrault’s nastiest, most un-Disneyfiable nursery story.
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30 mars 2010
With Bluebeard, Catherine Breillat—perhaps the most willful feminist provocatrice in cinema today—slyly subverts Charles Perrault’s gruesome fairy tale about a young bride married to an aristocrat who has murdered his previous wives.
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17 mars 2010
Au milieu d’un désert, quelques cases, une paillote, une pompe à essence et un Français. Alex n’est pas d’ici, mais presque. Il connaît cette Afrique, il y travaille de chantier en chantier. Tombé en panne de voiture dans le village, il attend…
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17 mars 2010
Frédéric Chignac, ancien journaliste – c’est son premier long métrage – installe son histoire dans une zone trouble et désespérante, une zone de « panne », où le colonialisme puis son avatar moderne, l’exploitation économique, ont pourri les rapports jusqu’à la racine.
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17 mars 2010
Le temps de la kermesse est terminé est une fable politique sur les relations pourries entre les riches Occidentaux exploiteurs et les Africains, qui commencent à retenir leurs leçons.
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17 mars 2010
Guillon, petit Blanc nerveux au cœur du continent noir.
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15 mars 2010
C’est à un petit théâtre de l’absurde (on pense, de loin, à Beckett et à Camus) que nous invite Frédéric Chignac pour son premier film.
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14 mars 2010
Un petit village dans le désert, quelque part en Afrique francophone. Le premier film de Frédéric Chignac ne quittera pas le bourg de Koupala, où Alex (intelligemment interprété par Stéphane Guillon), un baroudeur grande gueule pour qui l’Afrique n’a pas de secret, se trouve coincé plusieurs jours du fait d’une panne de voiture.
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